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10 millions de tonnes par an : c’est le poids du gaspillage alimentaire chaque année en France. 18% de la production alimentaire destinée à la consommation humaine finirait à la poubelle, et nous en sommes tous responsables : que ce soit sur les lieux de production ou à la maison, réduisons le gâchis ! Zoom sur les bonnes pratiques de Bonduelle pour valoriser 100% de ses légumes et pour faire sa part à la maison !

Les bons réflexes

Acheter la juste quantité, bien gérer les dates de consommation… Que ce soit du côté du producteur comme du consommateur, ce sont ses habitudes qu’il faut faire évoluer pour changer les choses. Faire figurer sur les emballages le nombre de portions auquel le produit est adapté, comme le fait Bonduelle sur ses étiquettes, permet d’ajuster la quantité achetée. Bien faire la différence entre DLC, DLUO et DCR permet aussi de consommer au bon moment et d’éviter au produit de prendre la direction de la poubelle par excès de précaution ! Bien emballer ses restes (boîtes hermétiques, mises sous vide), c’est la clé pour les utiliser plus longtemps en cuisine : croquettes de purée aux restes de légumes, pesto, soupe ou feuilleté pour la fin de vos sachets de salade, cosses de petits pois qui retrouvent une deuxième vie et autres épluchures qui se transforment en plats délicieux, il y a plein de recettes et d’astuces à essayer !

Et quand on est producteur ?

Utiliser 100% des légumes récoltés : voilà l’objectif que s’est fixé Bonduelle. Mais parfois, les légumes n’ont pas la possibilité d’arriver jusqu’à votre assiette : dès que l’on produit des denrées alimentaires, périssables et soumises à des contrôles stricts, on en perd forcément une petite partie. Alors, comment limiter le gâchis ? 

Certains produits non classés deviennent partie prenante d’autres recettes, sous forme de morceaux -comme on le fait à la maison !  Des parties non consommables des légumes ou des produits jugés non conformes sont transformés en compost : de la sorte, ce qui est produit par la terre retourne à la terre, pour la fertiliser. Ainsi, chaque mois, ce sont 5 tonnes de produits qui sont valorisés en compost à l’usine de Saint-Benoist-sur-Vanne. D’autres usines travaillent avec des entreprises partenaires pour la transformation des épluchures en énergie sous forme de biogaz. De la sorte, la boucle est bouclée du champ à l’assiette !